7,9x7,9 in ~ Peinture, Acrylique
Acrylique sur toile
Il faut que j’écrive sur le champ
Champ nourricier, cultivé, toujours à moissonner,
Champ du créateur, perpétuel ensemencé
Toute lassitude éloigner
Disparaître tout remords,
Amonceler.
Fragments de vivre
En douleurs incarnés
Soirées de monde à refaire
Bonheurs réguliers
Combats d’opinion assouvis
Luttes d’idées permises
Mots consignés
Demain en ici
Les heures missionnées
Quel mystère emprunté à cet acte : vivre ?
Quel sens accorder à cet état : vivant ?
Quand s’écoule du sablier le temps mouvant
Il faut que j’écrive sur le champ.
Muriel Cayet
Avril 2016
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