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Un résumé polychrome du monde - 2024
Un résumé polychrome du monde Marcher vers un ciel de presqu'île sans commander à la nature et prendre part à sa Providence, Là où des pays inexplorés se retournent vers le sud pour traverser les courses de la lune, Voir tant de ce monde et de l'espace pittoresque où habitent les auteurs des images et du sens, dirigés vers la lumière d'une terre démesurée aux confins de l'esprit et de ses mystères, L'énergie résolue s'offre une révélation : un horizon plus vaste, les rêveries que je vous livre1
Un résumé polychrome du monde
Marcher vers un ciel de presqu'île sans commander à la nature et prendre part à sa Providence,
Là où des pays inexplorés se retournent vers le sud pour traverser les courses de la lune,
Voir tant de ce monde et de l'espace pittoresque où habitent les auteurs des images et du sens, dirigés vers la lumière d'une terre démesurée aux confins de l'esprit et de ses mystères,
L'énergie résolue s'offre une révélation : un horizon plus vaste, les rêveries que je vous livre, un itinéraire en couleur ; un résumé polychrome du monde.
Réveillé d'une nuit sans fin, le monde se regarde dans les trois directions de l'horizon, le vent neuf poursuit son voyage. Pas à pas, il traverse l'été, l'océan de janvier jusqu'au point du jour. Avoir pour qualité « voyageur des couleurs » permet ce rêve qui court le temps sans savoir le pourquoi, du pays natal à l'entrée d'un jardin. Un miraculeux rai de soleil s'ajuste au bon endroit, une atmosphère étrange, un petit rituel du vaste répertoire prêt à se livrer.
Parler de poésie et passer les ponts, se promener du bout de la table vers des pays aux noms fascinants aussi exotiques que le moindre brin d'herbe de la lande et quitter son esprit, trouver sa destination détachée du discours : une route bleue ouverte dans une contrée sans panneaux indicateurs.
Puis partager sa vision des chapitres des jours et des nuits, un vent rose sur le pont de l'aube, une navigation par-delà l’or des vagues, un embarquement des souvenirs quittant le nom des rues pour virer de bord vers la maison d'un ciel redevenu bleu.
Une incroyable variété aux vérités portantes, le détail de mon projet, la conscience d'un lieu de lumière qui permet la traversée. Toute une série de cartes, un itinéraire au net tombant en ruban et dans le ciel une seconde lumière.
J’entends le poème, ma boîte à outils pour prendre un peu de repos et accrocher les souvenirs au centre de ma vue.
Muriel CAYET Février 2024
Marcher vers un ciel de presqu'île sans commander à la nature et prendre part à sa Providence,
Là où des pays inexplorés se retournent vers le sud pour traverser les courses de la lune,
Voir tant de ce monde et de l'espace pittoresque où habitent les auteurs des images et du sens, dirigés vers la lumière d'une terre démesurée aux confins de l'esprit et de ses mystères,
L'énergie résolue s'offre une révélation : un horizon plus vaste, les rêveries que je vous livre, un itinéraire en couleur ; un résumé polychrome du monde.
Réveillé d'une nuit sans fin, le monde se regarde dans les trois directions de l'horizon, le vent neuf poursuit son voyage. Pas à pas, il traverse l'été, l'océan de janvier jusqu'au point du jour. Avoir pour qualité « voyageur des couleurs » permet ce rêve qui court le temps sans savoir le pourquoi, du pays natal à l'entrée d'un jardin. Un miraculeux rai de soleil s'ajuste au bon endroit, une atmosphère étrange, un petit rituel du vaste répertoire prêt à se livrer.
Parler de poésie et passer les ponts, se promener du bout de la table vers des pays aux noms fascinants aussi exotiques que le moindre brin d'herbe de la lande et quitter son esprit, trouver sa destination détachée du discours : une route bleue ouverte dans une contrée sans panneaux indicateurs.
Puis partager sa vision des chapitres des jours et des nuits, un vent rose sur le pont de l'aube, une navigation par-delà l’or des vagues, un embarquement des souvenirs quittant le nom des rues pour virer de bord vers la maison d'un ciel redevenu bleu.
Une incroyable variété aux vérités portantes, le détail de mon projet, la conscience d'un lieu de lumière qui permet la traversée. Toute une série de cartes, un itinéraire au net tombant en ruban et dans le ciel une seconde lumière.
J’entends le poème, ma boîte à outils pour prendre un peu de repos et accrocher les souvenirs au centre de ma vue.
Muriel CAYET Février 2024
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