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Le temps d'un monde qui nous habite

Le pied sur la première planche, court laps de temps imparti de motifs non déterminés. Au cœur de ce labyrinthe, une profonde sympathie des générations, une pleine maturité dans cette nouvelle ère pour affronter les faits essentiels de notre longue course, sublime et universelle, de nos pensées secrètes si propres à l'éternité. Le vent du matin je connais sa puissance, l'art du temps le réalisme de sa fantaisie. Dans les trésors du cœur, un peu d'adresse pour se relever et se ressaisir, un pont1 Le pied sur la première planche, court laps de temps imparti de motifs non déterminés.
Au cœur de ce labyrinthe, une profonde sympathie des générations, une pleine maturité dans cette nouvelle ère pour affronter les faits essentiels de notre longue course, sublime et universelle, de nos pensées secrètes si propres à l'éternité.
Le vent du matin je connais sa puissance, l'art du temps le réalisme de sa fantaisie.
Dans les trésors du cœur, un peu d'adresse pour se relever et se ressaisir, un pont jusqu'à la lune et sa réelle amitié.
Des choses plus neuves comme un rêve pour accompagner la vie, pour m'aider à compter d'antiques images, pour prendre en charge ma destinée sans diriger mes pensées d'aucune façon, mais réveiller en moi toute la portée des mots.
Voir la providence dans le hasard, parcourir avec attention ce qui est bien fait, une pièce essentielle du miroir de tous les regards, un horizon de précaution à contempler, toutes les lueurs de mon esprit, les mouvements de mon cœur.
Le temps d'un monde qui nous habite.

Muriel CAYET - Décembre 2023
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