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Euphorbes et asphodèles - Fleurs et jardins en lumière - Avril 2023
Des forces de lumière surgissent quand le spontané s’est délié. Il nous reste tout cela : les faits ad vivum, la peinture de l’endroit, le numéro sur la matrice, le spectacle immense d’un coucher de soleil : la réalité au-delà des apparences. La tension entre les deux extrêmes : les facultés d’observation quand la lumière venue, après tant de lectures, on reprend le flambeau et toutes les sensations. Comme parti d’un tout, le tableau se fait libre, les codes acquis ressortent pour les rendre im1
Des forces de lumière surgissent quand le spontané s’est délié. Il nous reste tout cela : les faits ad vivum, la peinture de l’endroit, le numéro sur la matrice, le spectacle immense d’un coucher de soleil : la réalité au-delà des apparences.
La tension entre les deux extrêmes : les facultés d’observation quand la lumière venue, après tant de lectures, on reprend le flambeau et toutes les sensations.
Comme parti d’un tout, le tableau se fait libre, les codes acquis ressortent pour les rendre impérissables, et de l’admirable panorama surgit quelque chose de simplement gai, par-delà le labyrinthe.
Dans de multiples directions, nous trouvons beaux les mots du manuscrit, la couleur est notre liberté et de l’inventaire chronologique, arrivent la direction, la présence d’esprit et cette fin très mystérieuse.
Dessiner sur l’envers, les instruments librement choisis dans la recherche pure du procédé, on examine les contours, presque translucides dans la galerie de tableaux, leur rôle et leur destinée.
C’est évident de demander le maximum : pour représenter le mouvement de la peinture, on ne manque pas de matière et on lui souhaite la bienvenue en toutes circonstances.
Qu’est-ce qu’on joue dans ce temps composé ? Pourquoi donc douter ? Artistes, en héritiers spirituels dotés d’une totale humanité, là pour encourager et guider, d’autres renaissances.
La tension entre les deux extrêmes : les facultés d’observation quand la lumière venue, après tant de lectures, on reprend le flambeau et toutes les sensations.
Comme parti d’un tout, le tableau se fait libre, les codes acquis ressortent pour les rendre impérissables, et de l’admirable panorama surgit quelque chose de simplement gai, par-delà le labyrinthe.
Dans de multiples directions, nous trouvons beaux les mots du manuscrit, la couleur est notre liberté et de l’inventaire chronologique, arrivent la direction, la présence d’esprit et cette fin très mystérieuse.
Dessiner sur l’envers, les instruments librement choisis dans la recherche pure du procédé, on examine les contours, presque translucides dans la galerie de tableaux, leur rôle et leur destinée.
C’est évident de demander le maximum : pour représenter le mouvement de la peinture, on ne manque pas de matière et on lui souhaite la bienvenue en toutes circonstances.
Qu’est-ce qu’on joue dans ce temps composé ? Pourquoi donc douter ? Artistes, en héritiers spirituels dotés d’une totale humanité, là pour encourager et guider, d’autres renaissances.
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