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Paysagiste à l'horizon - Gouache sur bristol 17 x 23 cm- Février 2023
Carnet de route du paysagiste Une invitation à simplifier son expression – en perpétuelle évolution. Placer toutes les extrémités sur des sommets – en ne donnant pas de nom. Appréhender la valeur propre du geste - sans y penser. Jeter un coup d’œil aux formules complètes et retrouver rapidement les lieux de la mémoire. Rencontrer les inséparables gardiens - des pièces d’art intemporelles. Ouvrir le vrai manuscrit - dans son sens de lecture ! Oser une longue salutation à son endroit pour être1
Carnet de route du paysagiste
Une invitation à simplifier son expression – en perpétuelle évolution.
Placer toutes les extrémités sur des sommets – en ne donnant pas de nom.
Appréhender la valeur propre du geste - sans y penser.
Jeter un coup d’œil aux formules complètes et retrouver rapidement les lieux de la mémoire.
Rencontrer les inséparables gardiens - des pièces d’art intemporelles.
Ouvrir le vrai manuscrit - dans son sens de lecture !
Oser une longue salutation à son endroit pour être face à son statut de poète.
A l’origine, c’est un repère sur le schéma, précieux comme les petites étoiles à trois côtés, vagabondes. Une méthode poétique garnie de paquets cadeaux, de nombreux livres, et à la surface, toujours : la lumière !
L’endroit est magique ; il répond à nos interrogations, c’est un appui conséquent à la mosaïque des temps poétiques. Parmi les objets égarés, une découverte des zones de fractures, des mesures et des espaces. En les positionnant, on découvre une petite ouverture, un caractère concret à toutes les idées : des images fantasmagoriques ; un jeu muet qui raconte nos histoires.
On apprend la manière d’ouvrir les fenêtres de cette grande pièce nue, une dimension plus fondamentale exprimée dans une longue syllabe à la manière des poètes, un champ de recherches pour maintenir telles les connaissances ; des phrases toujours plus distinctes.
Paysagiste à l’horizon
Se définir comme un paysagiste, bien ancré avec l’ensemble, de l’ancien temps des retours à l’enfance à celui des installations inédites. Maître dans l’art des bonnes idées, avec sa méthode pleine de surprises, au cœur des croisements de routes, deux par deux.
Être enrichi de ses propres compositions, bien que composées du même monde, les faire coïncider pour gagner en lumière, et que tout message trouve sa place.
Renouveler l’opération, sans cesser de répertorier le sens des nuances, les coups d’œil alentour, étaler l’émotion dans des diagonales absolues, géométriques et passionnées, dans des panoramas attentifs. (se) Faire du bien dans l’invisible, histoire d’être un aventurier.
Le bagage de l’expédition est léger pour un résultat intense, stylisé, facetté, antique, soigneusement doré : un trait de crayon centré, les coloris enchanteurs, une régularité qui tient ses promesses en jeux de lumière. Le tout pour former un cercle qui fait voyager, des témoignages qui prennent en compte toutes les découvertes et qui indiquent immanquablement, les mouvements du vent.
Jusqu’à la célébration du retour au pays natal, dont le paysagiste honorera l’invitation, pour imaginer une vie à écouter le déferlement des vagues ; cette émotion indéfinissable d’exister ici et maintenant.
Muriel CAYET – Février 2023
Une invitation à simplifier son expression – en perpétuelle évolution.
Placer toutes les extrémités sur des sommets – en ne donnant pas de nom.
Appréhender la valeur propre du geste - sans y penser.
Jeter un coup d’œil aux formules complètes et retrouver rapidement les lieux de la mémoire.
Rencontrer les inséparables gardiens - des pièces d’art intemporelles.
Ouvrir le vrai manuscrit - dans son sens de lecture !
Oser une longue salutation à son endroit pour être face à son statut de poète.
A l’origine, c’est un repère sur le schéma, précieux comme les petites étoiles à trois côtés, vagabondes. Une méthode poétique garnie de paquets cadeaux, de nombreux livres, et à la surface, toujours : la lumière !
L’endroit est magique ; il répond à nos interrogations, c’est un appui conséquent à la mosaïque des temps poétiques. Parmi les objets égarés, une découverte des zones de fractures, des mesures et des espaces. En les positionnant, on découvre une petite ouverture, un caractère concret à toutes les idées : des images fantasmagoriques ; un jeu muet qui raconte nos histoires.
On apprend la manière d’ouvrir les fenêtres de cette grande pièce nue, une dimension plus fondamentale exprimée dans une longue syllabe à la manière des poètes, un champ de recherches pour maintenir telles les connaissances ; des phrases toujours plus distinctes.
Paysagiste à l’horizon
Se définir comme un paysagiste, bien ancré avec l’ensemble, de l’ancien temps des retours à l’enfance à celui des installations inédites. Maître dans l’art des bonnes idées, avec sa méthode pleine de surprises, au cœur des croisements de routes, deux par deux.
Être enrichi de ses propres compositions, bien que composées du même monde, les faire coïncider pour gagner en lumière, et que tout message trouve sa place.
Renouveler l’opération, sans cesser de répertorier le sens des nuances, les coups d’œil alentour, étaler l’émotion dans des diagonales absolues, géométriques et passionnées, dans des panoramas attentifs. (se) Faire du bien dans l’invisible, histoire d’être un aventurier.
Le bagage de l’expédition est léger pour un résultat intense, stylisé, facetté, antique, soigneusement doré : un trait de crayon centré, les coloris enchanteurs, une régularité qui tient ses promesses en jeux de lumière. Le tout pour former un cercle qui fait voyager, des témoignages qui prennent en compte toutes les découvertes et qui indiquent immanquablement, les mouvements du vent.
Jusqu’à la célébration du retour au pays natal, dont le paysagiste honorera l’invitation, pour imaginer une vie à écouter le déferlement des vagues ; cette émotion indéfinissable d’exister ici et maintenant.
Muriel CAYET – Février 2023
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