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Mémoires de là-bas ou le reste du temps - Feutre sur balsa
Mémoire de là-bas ou le reste du temps Le reste du temps, carnet à la main sans paroles inutiles Le monde des esprits veille sur cette vieille gravure ; une voix intérieure au milieu des brumes. Pour prendre le monde jusqu’à la fin Ses fulgurations de l’heure présente, toile de fond de son histoire, couleur de son esprit. Le reste du temps et sa vitesse d’exécution Son éloquence inimaginable pour braver toutes les épreuves Pour prendre le monde jusqu’à la fin de la nuit Emporté par l’enthousi1
Mémoire de là-bas ou le reste du temps
Le reste du temps, carnet à la main sans paroles inutiles
Le monde des esprits veille sur cette vieille gravure ; une voix intérieure au milieu des brumes.
Pour prendre le monde jusqu’à la fin
Ses fulgurations de l’heure présente, toile de fond de son histoire, couleur de son esprit.
Le reste du temps et sa vitesse d’exécution
Son éloquence inimaginable pour braver toutes les épreuves
Pour prendre le monde jusqu’à la fin de la nuit
Emporté par l’enthousiasme à la disponibilité totale.
Le reste du temps sans attendre de réponse,
Quitter la grande route dans un instant d’insomnie
Pour prendre le monde au plus juste de la vie,
La distance est considérable et ce n’est pas la dernière.
Le reste du temps ce sera notre enquête
L’âme des conversations sagement rangée sur les bas-côtés
Pour prendre le monde et décrire cette courbe,
Dans un vertige de la mémoire pour dire la vérité.
Le reste du temps, la terre est si lourde,
Je poursuis ma course sous la couverture des nuages
Pour prendre le monde et chercher son mystère
La pensée, vagabondant.
Le reste du temps pouvoir le comprendre encore
Ce murmure des ondes bénéfique sur notre cerveau
Pour prendre le monde et partir en voyage
Donner la force dans sa méditation.
Le reste du temps transformé subitement,
Désormais libre de mouvements
Pour prendre le monde du tac au tac
Je peins une phase nouvelle, organisée le mieux possible.
Muriel CAYET
Avril 2023
Le reste du temps, carnet à la main sans paroles inutiles
Le monde des esprits veille sur cette vieille gravure ; une voix intérieure au milieu des brumes.
Pour prendre le monde jusqu’à la fin
Ses fulgurations de l’heure présente, toile de fond de son histoire, couleur de son esprit.
Le reste du temps et sa vitesse d’exécution
Son éloquence inimaginable pour braver toutes les épreuves
Pour prendre le monde jusqu’à la fin de la nuit
Emporté par l’enthousiasme à la disponibilité totale.
Le reste du temps sans attendre de réponse,
Quitter la grande route dans un instant d’insomnie
Pour prendre le monde au plus juste de la vie,
La distance est considérable et ce n’est pas la dernière.
Le reste du temps ce sera notre enquête
L’âme des conversations sagement rangée sur les bas-côtés
Pour prendre le monde et décrire cette courbe,
Dans un vertige de la mémoire pour dire la vérité.
Le reste du temps, la terre est si lourde,
Je poursuis ma course sous la couverture des nuages
Pour prendre le monde et chercher son mystère
La pensée, vagabondant.
Le reste du temps pouvoir le comprendre encore
Ce murmure des ondes bénéfique sur notre cerveau
Pour prendre le monde et partir en voyage
Donner la force dans sa méditation.
Le reste du temps transformé subitement,
Désormais libre de mouvements
Pour prendre le monde du tac au tac
Je peins une phase nouvelle, organisée le mieux possible.
Muriel CAYET
Avril 2023
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